Comment assurez-vous votre impartialité ?

Plusieurs précautions sont prises afin qu’aucune institution, ni aucun membre ne puisse contrôler notre association, ou en abuser à des fins partisanes :

  • statuts, règlements, charte très strictes sur l’indépendance de notre association ; les dirigeant et collaborateurs de l’association déclarent, sur l’honneur, adhérer à ces textes
  • présence de membres de tous les horizons dans les organes de l’association (contrôle ‘social’ interne) ; en 2018, notre assemblée générale compte 20 associations très diverses
  • refus de toute forme de subventionnement qui mettrait l’association dans une situation de dépendance.

Les dirigeants savent que tout comportement partisan serait suicidaire pour notre association.

 

Concrètement comment assurez-vous la non-orientation du GPS électoral ?

La méthodologie et le questionnaire sont révisés par un comité scientifique, composé de professeurs d’université en sciences politiques et de journalistes, dont la composition est publiée sur notre site web.

Dans l’élaboration du questionnaire on vise un équilibre entre les thèmes. Il y a aussi un équilibre dans la formulation des positions, de sorte qu’en répondant, par exemple, « tout à fait d’accord » à toutes les questions, on ne soit plus à gauche qu’à droite.

Les scientifiques prétendent que l’existence d’un biais dans le questionnaire d’un système d’aide au vote, s’il se produisait, ne déforme pas nécessairement les résultats. En effet, le but du GPS électoral est de mesurer l’affinité politique entre l’utilisateur et les candidats. Dans la mesure où les deux sont soumis au même biais, ils réagiront de façon analogue, et le « matching » n’en sera guère affecté.